Se perdre de vue pendant 16 ans, des retrouvailles EXTRA CHAUDES

- Catégories : Histoires coquines

La porte de la chambre vient de se refermer pour la dernière fois, telle une belle parenthèse, sur cette escapade coquine qui nous a permis enfin de nous retrouver « pour de vrai » pendant 4 jours. Un vrai régal, que du bonheur !!

Un dernier bisou, une dernière étreinte, il a oublié sa veste de costume. Comme un acte manqué. Ses mots résonnent encore dans ma tête. « Surtout prends bien soin de toi ».

Dans le premier opus, nous vous avions livrés le contexte de nos retrouvailles, bien réelles, mais du fait de la distance, la rencontre physique racontée relevait du pur fantasme.

Au fur et à mesure des mois, notre complicité s’est renforcée, nous sommes allés de plus en plus loin dans nos envies, je lui ai livré mes textes comme une bouée à attraper… il m’a dévoilé ses plaisirs… Le désir est là, brûlant… Nous n’en pouvons plus de ces échanges virtuels, de ces conversations bouillantes qui nous laissent sur notre faim. Nous devenons impatients de pouvoir enfin donner libre cours à ce désir qui nous consume lentement de l’intérieur.

Au détour d’une conversation téléphonique, il m’apprend qu’il part 5 jours en février à Francfort. Dans ma tête, la machine s’emballe immédiatement. Les dates correspondent à ma première semaine de vacances, je n’ai pas les filles. Bingo !! 4 jours rien que pour nous….
Rapidement, nous en sommes à compter les jours qui nous séparent. L’impatience est à son paroxysme. 6 mois d’échanges enflammés, nos sens sont en émois.

L’inquiétude grandit quant aux détails logistiques. Sa chambre d’hôtel est pour une personne, payée par son entreprise. J’appelle afin d’expliquer la situation. Le besoin d’une chambre double. La possibilité de réaliser une double facturation. La nécessité d’une totale transparence sur la facture. D’une absolue discrétion. Dont je suis vite assurée puis rassurée.

Je prépare mon sac et y glisse de jolis ensembles de lingerie. Mon sextoy. Mon jeu de cartes coquin, une plume, des foulards, mon huile de massage, des préservatifs… tout y est pour notre plus grand plaisir…
Les jours passent, trop lentement à notre goût.
Jeudi soir. Il est arrivé. Une fois installé, il m’appelle. La fatigue nous gagne. Normal. Il est 1h du matin passé. Voilà plus de 2h et demi que nous sommes en ligne. Raisonnables mais dépités, nous raccrochons. Nous savons que dans quelques heures, nous serons enfin dans les bras l’un de l’autre. La journée est longue. Je suis toute excitée à l’idée de… hummmm… mes seins sont déjà tout tendus, ma petite culotte est trempée….

17h30. Je laisse les filles à leur père et prends la route. 600 km. 6 heures de route. Nos téléphones vibrent de notre impatience. Je lui mets l’eau à la bouche en lui laissant entendre que sous ma tenue pratique pour conduire, se cache une tenue plus coquine, noire, mais sans rien lui dire de plus, pour qu’il ait le plaisir de la découverte… Il m’intime de me dépêcher… Je le sens impatient, gourmand… Je le laisse se reposer pour mieux profiter de lui après.

Minuit passé. J’approche. Je n’en peux plus. Il me guide sur les derniers kilomètres. Guette ma voiture. Descends pour venir m’accueillir. Nos regards s’accrochent, un large sourire nous illumine… Le bonheur de se voir enfin…, les plaisirs enfin réels à portée de main…
Avec son mètre 85, ses yeux verts et sa silhouette athlétique, il est toujours aussi séduisant. Sa quarantaine lui va comme un gant… Son jean mets son corps en valeur et son pull laisse deviner son torse… Mais deux hommes s’approchent de lui et commencent à discuter avec lui. Je suis dépitée. A cette heure là ? Que font ils là ? Je me retourne, pose mes sacs, mon manteau et vais au bar me commander un petit remontant en l’attendant. Il me rejoint enfin. Nos yeux brillent de nos désirs et brulent de nos envies. Mais nous devons encore être sages et raisonnables quelques minutes, n’importe qui peut nous voir. Les larges sourires que nous arborons en disent long sur ce qui nous anime…

Nous rejoignons les ascenseurs et à peine les portes se sont-elles refermées que nous nous jetons littéralement l’un sur l’autre, nos bouches se rejoignent dans un accès de gourmandise intense. Nos langues se cherchent et se titillent, nos lèvres se chevauchent… nos mains s’unissent. Que ce premier contact est tout simplement délicieux !!

La porte de la chambre à peine franchie, nous nous laissons aller à nos envies. Nos bouches ne décollent plus, nos langues jouent et tournent. Collée contre lui, je sens sa queue raide sous son jean… Il m’a souvent dit que dans ces cas-là, il est à l’étroit… je n’ai qu’une envie, le libérer de là, le gouter… Ses mains se glissent rapidement sous ma tunique, dévoilant la jolie nuisette noire légèrement transparente dont il décidera de se séparer immédiatement, dévoilant mes seins tendus de plaisir, mes tétons pointant de désir… Sa bouche vient délicatement sucer le premier téton. Je soupire d’aise, j’adore ça. Sa langue est douce et coquine, elle s’échappe vers l’autre sein pendant que ses doigts viennent jouer avec le premier. Mes mains le libèrent aussi de son pull, laissant place à un torse musclé. Nos pantalons, obstacles à nos caresses, jonchent rapidement le sol. En faisant glisser le mien, F. découvre avec plaisir les bas que j’ai enfilés avant de partir… sa main se promène doucement le long, profite de leur douceur…. Un sourire complice vient illuminer son visage. Le murmure d’un « petite salope » parvient à mon oreille…

Il me guide avec fougue vers le canapé de la chambre, dans lequel je me laisse pousser en écartant soigneusement le compas de mes jambes. Seuls nos dessous sont encore une entrave au torride corps à corps qui va suivre. Je l’enserre avec mes jambes pour qu’il colle son pubis contre le mien. Sa queue emprisonnée dans son boxer se frotte contre mon vagin… sa main écarte la ficelle de mon string pendant que la mienne s’occupe de son boxer… sa queue enfin libérée se présente à l’entrée de ma chatte pour venir gouter la chaleur de mon sexe… nous évoquons très rapidement la question des préservatifs… ils sont dans mon sac… trop loin.. pas envie de nous séparer…

De concert nous donnons un petit coup de reins qui nous permet de finir d’unir nos deux corps dans un râle de plaisir et d’impatience enfin assouvis… Nos corps bougent à l’unisson, nous nous découvrons. Il ressort doucement de moi, vient se frotter contre mon clito qui n’en peut plus d’excitation. Veut se guider avec sa main pour revenir en moi mais je la lui prends et c’est ma chatte gourmande qui le guide à l’intérieur. Le désir monte, le rythme s’accélère, nos sens sont aux aguets… il a envie de faire durer…

Il m’emmène vers le lit, s’approche du grand miroir collé à l’armoire… il m’avoue aimer regarder… il est debout, dos au lit… j’ai tellement envie de lui que je le pousse gentiment sur le lit et profite de son mat dressé pour venir assez sauvagement m’empaler sur lui… nos sexes gonflés d’envie et déjà plus familiers se trouvent sans difficulté… ses mains agrippent vigoureusement le globe de mes fesses pour les accompagner dans leur rythme de va-et-vient… Il accélère, s’enfonce plus profondément en moi… je sens qu’il me remplit… mon vagin se contracte de jouissance, je coule de plaisir et m’allonge contre lui, repue de bonheurs. Nos bouches s’unissent, ses mains que je vais découvrir fort câlines parcourent mes épaules, mon dos, mes seins, n’oubliant aucun centimètre carré…

Il parait que l’amour est MMS :
à 20 ans c’est Matin, Midi et Soir,
à 40 ans, c’est Mardi, Mercredi Samedi,
à 60 ans, c’est Mars, Mai et Septembre
et à 80 ce sont Mes Meilleurs Souvenirs.

Après cette première soirée torride, et pendant ce long weekend de plaisir, à 40 ans, nous nous comporterons comme à 20 ans…
Le matin, quand le réveil sonne, je m’installe à califourchon sur mon bel amant. Ma langue gourmande l’assaille de douces léchouilles, descendant du lobe des oreilles vers la base du cou, le faisant frémir. Ma chatte vient innocemment se poser sur son sexe encore endormi devine l’éveil du mâle… Mouillée, j’imprime de doux mouvements de va-et-vient avec mon bassin. Ma langue continue de jouer sur son corps, s’attardent sur ses seins. Elle descend le long de ses côtes, revient faire le tour de son nombril, continue sa descente vers son entrejambe mais pour mieux dévorer l’intérieur de ses cuisses, l’une après l’autre. Il se contracte de plaisir, commence à émettre quelques râles de contentement…. Au passage, j’effleure sa queue qui commence à se dresser d’envie… Oups, pardon, je ne voulais pas… (rires…). Je me redresse légèrement et viens effleurer son gland avec mes grandes lèvres, puis les petites… Il est à la porte de mon intimité…Sa bouche vient me voler un baiser matinal.

Et là, doucement mais surement, je m’empale sur lui, tout en douceur, tout en sensualité, sa queue tendue de désir est littéralement engloutie à l’intérieur de moi. Je commence de doux va-et-vient, lents, rythmés. Je le sens grandir en moi, j’adore. Il me remplit de sa chaleur. Je me retire doucement et prends son mat dans ma main, pour mieux le frotter le long de mon entrejambe. Je suis tellement mouillée qu’il glisse sans efforts et vient d’avant en arrière le long de mes lèvres qui le recouvrent… L’excitation monte, sa queue, qui semble se sentir bien en moi, retrouve sans peine le chemin de la volupté et vient se fourrer en moi. Il aime que je prenne les initiatives le matin et j’aime lui faire l’amour. J’accélère le rythme… son souffle s’accélère, le mien l’accompagne, ses mains se crispent sur mon cul et je le sens qu’il m’emplit dans un dernier grondement de plaisir mêlé de délivrance.

L’heure tourne. Il doit partir travailler. Il prend sa douche. Pendant qu’il se prépare, je reste confortablement installée au chaud sous la couette. Il m’a glissé avoir envie que l’on s’occupe de lui. Message bien reçu, même s’il croit parfois que je ne l’écoute pas ? Il s’approche du lit, je me redresse et l’aide à boutonner sa chemise, mettre ses boutons de manchettes. Il est superbe dans son costume sombre. Une grande classe.

Il ne descend pas prendre son petit déjeuner sans m’avoir fait un petit bisou. En l’attendant, je me laisse aller à mes envies, mes doigts jouent avec mon clitoris tout gonflé. Quand il remonte, je l’invite à venir me rejoindre près du lit. Il est debout, offert devant moi. Son regard plonge dans le mien, son sourire me fait craquer… mes mains quittent leur aire de jeu et sortent de dessous la couette. Je défais la ceinture, il proteste… pour la forme… je déboutonne le premier bouton, le second résistera un peu à mon assaut le premier jour mais plus du tout les suivants… comme s’il avait eu des consignes… mes mains s’immiscent sous son caleçon et viennent attraper le globe galbé de ses fesses, avant de faire glisser boxer et pantalon… pendant ce temps, ma bouche souffle un petit courant chaud sur son sexe, au travers du tissu rayé.

Découvert, au repos, je le prends dans ma bouche et commence doucement à titiller son gland, tourner autour, lécher son frein ; la réaction ne se fait pas attendre… j’adore le sentir grossir dans ma bouche… je le lèche le long de la hampe, descends gober ses testicules que je fais rouler dans ma bouche, ma main a pris le relais… je retourne le gouter, quelques gouttes s’échappent de son gland que je viens avaler… sa queue est dure, tendue, je l’enfourne au plus profond de ma gorge et accélère mes mouvements… j’entends mon amant me dire qu’il va jouir, je n’attends que ça, sors ma botte secrète pour l’achever et avale son jus qui remplit ma gorge… C’est bon… Il est largement l’heure pour lui de rejoindre ses collègues. Avec regrets, je le rhabille et après un dernier bisou, il disparait. Mais cette gâterie matinale deviendra dès le deuxième jour partie intégrante du rituel du matin, au même titre que la douche ou le rasage….

De retour le soir, la fatigue des heures passées debout se fait ressentir, et je l’invite à s’allonger sur le lit après l’avoir débarrassé de tous ses artifices inutiles et encombrants…. Installé sur le ventre, il s’abandonne aux caresses et massages qui le détendent et lui font oublier le labeur de la journée. Mes mains parcourent son dos, ses épaules, sa nuque, descendent le long de ses reins… Ma main coquine glisse sous ses hanches, câline son sexe qui réagit immédiatement à cette invitation… Il se retourne et vient doucement imbriquer son jouet dans l’écrin qui lui est réservé. Il me pénètre doucement, faisant durer le plaisir, monter l’excitation… Il se retire, glisse un son majeur en moi. Le bouge à l’intérieur. J’ai envie qu’il aille plus loin. Je l’invite à mettre son annulaire, puis l’index. ET pourquoi le petit doigt n’y aurait-il pas sa place ? Je me sens remplie, ma cyprine coule… Mais l’heure tourne, il est supposé être célibataire et doit descendre diner avec ses collègues…

Quand il remonte, il est plus que clair que cette mise en bouche l’a mis en appétit et la douceur de la fin de journée fait place à une gourmandise non dissimulée qui me mettra rapidement sur les genoux, en levrette… Sa queue imprime des va et vient plutôt sauvages, il aime ma chatte, la trouve bonne, à son goût… Je contracte mes adducteurs pour l’exciter. Succès garanti… Sa queue durcie encore. Mon cul offert le mets en appétit et comme les 3 coups au théâtre qui annoncent l’ouverture du rideau, il me pénètre profondément… la surprise passée, je profite de ce mat vigoureux comme bâti sur mesure pour mon plus grand plaisir… L’excitation devient incontrôlable et il libère sa semence dans un râle dont nos voisins de chambre auront très probablement profité… Sa main reprend ses caresses sur ma peau toute émoustillée.

Les soirées seront agrémentées d’ébats et de câlins de plus en plus complices, de plus en plus torrides. Sa bouche gourmande est venue gouter mon jus, sa langue est venue jouer avec mon bouton d’amour. Pendant ses 4 jours, il l’a sucé, léché, aspiré, fait grandir avec sa bouche, sa langue. Il en a fait son terrain de jeu et a largement maîtrisé la règle du jeu de mon plaisir… J’ai rarement été transportée à ce point-là par ce type de caresses… Mais chut, c’est un secret, je ne le lui ai pas dit… Peut être l’a-t-il senti ???

(…) Il s’installe sur le dos. Je viens poser ma tête sur son ventre, prends sa main que je glisse dans mon entrejambe. J’aime vraiment trop sa façon de me faire du bien… Ses doigts viennent jouer avec mon clito et partent à la découverte de ce petit point triangle de plaisir que j’ai et dont je lui ai parlé et que sa langue a su dégotter… Il le trouve sans difficultés et commence à jouer avec l’un et l’autre, ses doigts attrapent mon petit bouton et le font gonfler d’excitation. Son majeur vient jouer avec ma sensibilité mais nous discutons comme si de rien n’était. Seuls nos souffles un peu plus prononcés trahissent ce moment de volupté. Il continue son jeu quelques instants encore, titille ce mini sexe avide de plaisirs, le frotte, l’étire…

Nous nous blottissons l’un contre l’autre et restons ainsi avant de nous endormir. Mais je suis une sauvage, je m’éloigne vite. Il fera gentiment deux tentatives pour se coucher tout contre moi avant que je ne m’échappe de nouveau…

Lundi, la neige m’empêche de poursuivre la découverte de la ville. J’ai déjà pris quelques centaines de photos. J’ai envie d’aller sur le salon sur lequel il travaille, récupérer des informations pour préparer mes propres cours pour mes élèves. Il appelle sa collaboratrice, lui explique qu’il a perdu sa carte d’entrée et s’assure de pouvoir malgré tout rentrer afin de pouvoir me laisser la sienne.

Une fois parti, je me prépare. J’ai heureusement emmené avec moi une petite robe noire avec une jupe écossaise. Je finis de me préparer, me maquille et descends prendre mon petit déjeuner. Le regard appuyé de quelques hommes et les sourires de l’un des serveurs me rassurent sur le choix de ma tenue et son effet.

Arrivée au Hall des expositions, je visite un peu avant de me rendre sur son stand. Je l’aperçois. Il est vraiment bel homme et a une vraie classe dans son costume gris. J’attends qu’il ait terminé avec son acheteur avant de me montrer. Quand il m’aperçoit, il s’approche de moi et me serre la main, nous avons convenu de faire comme si nous ne nous connaissions pas. Il nous installe à la table la plus éloignée et commence à répondre à mes questions, me présenter la société… Je prends quelques notes, quelques photos, et vais continuer ma découverte sur le stand de ses concurrents.

Obligée de revenir sur le sien pour glaner quelques informations supplémentaires, je le trouve occupé et c’est l’un de ses collègues qui s’approche de moi et commence sans vergogne à être plus poli que nécessaire. Nous discutons plus de 20 minutes ensemble avant que d’autres obligations professionnelles ne l’appellent mais il me quitte non sans me promettre de m’envoyer un produit et me laisser sa carte.
Mon petit doigt me dit qu’il n’est pas indifférent, ce que me confirme mon directeur commercial préféré en rentrant dans la chambre d’hôtel le soir et en m’expliquant que son collègue lui a parlé de moi dans l’après-midi, espérant me proposer un rendez-vous quand il viendrait dans la région pour son travail. J’ai comme le sentiment que cette situation l’a légèrement excité car le câlin qui suit est plus fougueux…
Une envie nouvelle le prend, et il m’amène jusqu’au bureau, sur lequel il m’installe, jambes bien écartées, mes lèvres offertes à son sexe tendu, luisant de désir. Ses mains me positionnent face à son gland turgescent avant de venir s’engouffrer en moi et s’empaler au plus profond de moi. Sa queue est bien ancrée en moi, elle se frotte contre chacune de mes parois, je suis dégoulinante de mouille et dans la folie de ce câlin, je me rejette en arrière… déformant un tant soit peu la lampe de bureau installée contre le mur….

Au fil de ses quatre jours, notre complicité n’a fait que croitre. Nos sexes se sont apprivoisés et se reconnaissent, se plaisent et s’accordent parfaitement. Le sien trouve sans y être guidé l’entrée de ma grotte qui l’accueille ouvertement. Sa main d’abord timide est venue avec un doigt puis deux explorer mes profondeurs avant de comprendre que tous y avaient leur place… D’un rythme régulier pour provoquer son excitation, j’ai pu lui infliger un tempo moins prévisible, déclenchant systématiquement la surprise, soit en me retirant, soit en m’empalant sur sa verge tendue. D’un mouvement régulier de haut en bas qui le faisait monter en puissance, son mat à pris plaisir à des inclinaisons plus manifestes. A la surprise de mon amant qui découvre la réactivité de sa queue à ces variations…

Au réveil, le lendemain je m’installe de nouveau à califourchon sur mon bel amant. Après l’avoir dévoré et senti son sexe grandir dans ma bouche, c’est une surprise qui m’attend : ce matin, pour le dernier matin, il a décidé de prendre les choses en main et je l’entends me demander de m’installer à quatre pattes sur le lit. Il vient se positionner debout derrière moi et je sens quasi instantanément sa queue venir se fourrer en moi et les coups de butoir m’assaillir. Il me lime profondément. C »st trop bon. Je m’accroche aux draps de plaisir. J’ai envie de hurler tellement c’est bon… Et je sens sa jouissance me remplir, tel un feu vert à la mienne qui est venue me brûler les entrailles, me laminant telle une lame de fond et déclenchant pour moi les spasmes libérateurs de mon propre plaisir, mon vagin se tordant de plaisir. Non sans m’avoir tendrement bisouiller, il m’abandonne pour aller prendre sa douche.

Dans ses messages, il a souvent fait allusion à ses érections sous la douche, me mettant l’eau à la bouche, me donnant envie de le sucer jusqu’au bout de son plaisir tout en sentant l’eau couler sur nos corps.
C’est l’occasion rêvée pour rendre réelle une situation jusqu’alors seulement imaginée. Occasion en or pour imprimer un souvenir qui peut devenir un rappel quotidien de cette parenthèse extraordinaire que nous venons de partager.

J’attends d’entendre l’eau couler et le rejoint. Je l’embrasse, le prends dans mes bras, lui fait quelques petites léchouilles dans le cou, sur le lobe des oreilles avant de me laisser glisser jusqu’à son sexe offert. Je le prends en bouche et m’occupe de lui, mes mains en profitent pour peloter son petit cul qui me fait craquer… J’alterne les mouvements de langue coquins, avec seulement la pointe de la langue ou plus goulument, le long de sa hampe avec les petits coups de langue sur son gland. Il me mate et sourit de plaisir. Je viens aspirer ses bourses et les faire rouler sous ma langue avant de revenir lécher chaque centimètre carré de cet engin de plaisir que je commence à apprivoiser.
Je ne veux pas le mettre en retard, j’abrège ce câlin que j’aurais aimé pousser jusqu’au bout mais en le libérant, je lui lance un regard coquin et lui explique que c’est pour que plus jamais, il ne prenne sa douche de la même manière…

Pour la dernière fois, je boutonne sa chemise.

Pour la dernière fois, il m’embrasse avant de descendre petit déjeuner.

Pour la dernière fois, il me prend dans ses bras avant de partir travailler.

Mais pour la première fois, j’ai aussi compris grâce à lui pourquoi j’aime tant faire l’amour… Car derrière ce bel amant se cache un homme tout en sensibilité, à la sensualité développée avec qui j’ai partagé avec complicité une fabuleuse parenthèse de ma vie. Il manie l’art du plaisir mais aussi l’écoute de l’autre, et connaît parfaitement son corps et aime celui de sa partenaire.

De retour vers nos domiciles respectifs, nous passons encore plus d’une heure au téléphone afin d’adoucir la séparation, échangeons des banalités… Le retour à la réalité est difficile après une telle parenthèse…

Je lui envoie ce texte et sa réponse ne peut pas ne pas figurer dans cette histoire :
« Incroyable machine à remonter le temps. J’en suis à ma quatrième lecture (en 24h) et ne m’en lasse pas. Forcement être acteur et partie prenante font que mes commentaires ne sont pas objectifs. Seul l’avis du public sera ton juge de paix. Alors publie et récolte les lauriers de ton labeur. Merci de m’avoir fait revivre l’intensité de ce merveilleux moment partagé à tes côtés. Je t’embrasse ».

Moi aussi je t’embrasse où tu veux, comme tu veux ;-)).
Et vous aussi lecteur fidèle et gourmand…

A bientôt ?

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